Le marché actions semble complaisant. Face à l’inflation continue des salaires, aux signaux pessimistes envoyés par le marché obligataire, au durcissement des normes de prêt, à la faible confiance des petites entreprises, à la baisse des prévisions de PIB et à la dégradation des anticipations des consommateurs (en bref, à une récession possible, voire probable, aux États-Unis), les actions continuent de se négocier sur des multiples élevés. Cette situation est préoccupante si l’on considère que le « règlement de la facture » n’a été que reporté, et non pas évité.
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